Alors que la Commission européenne annonçait dans la journée que les conditions d’un accord entre le Mercosur et l’UE « ne sont pas réunies » mais que les discussions se poursuivaient, nous le disons clairement : nous ne voulons pas une suspension ou un report tactique des négociations. Nous voulons l’abandon définitif des négociations. Il est grand temps de renoncer à ce traité néfaste, qui menace nos agriculteurs, notre pays, notre planète. 

Je me suis rendu dans la soirée sur le point de blocage de l’A1 dans le Val-d’Oise pour échanger avec les agriculteurs en colère. L’opposition aux accords de libre-échange et la revendication de prix rémunérateurs garantis sont dans toutes les bouches. La communication gouvernementale ne suffira pas à calmer cette juste colère !