15avril 2025
Fibre optique : pour une prise en charge de malfaçon par les opérateurs
Chaque année des milliers d’usagers d’internet sont victimes de malfaçons. Pourquoi les opérateurs privés ne sont-ils pas contraints d’assumer leurs responsabilités ? Comment justifier que ce soient les élu·es locaux·les et les citoyen·nes qui en subissent les conséquences, pendant que ces entreprises perçoivent des financements publics sans garantir un service de qualité ?
Le mode de sous-traitance imposé par les OCEN, dit « STOC », entraîne une dilution des responsabilités, des raccordements bâclés, et des réparations financées par des réseaux publics. Pourquoi laisser perdurer ce système opaque, inefficace et dispendieux ?
Quelles sanctions le gouvernement compte-t-il enfin appliquer pour contraindre les opérateurs à assumer leurs responsabilités ? Et surtout : quand mettra-t-on fin à ce modèle défaillant, en assurant un contrôle public sur ces infrastructures essentielles ?
Mes questions à Éric Lombard, ministre de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique.
Question à retrouver en intégralité ici